Accor a annoncé sa décision le 2 avril 2020 d’affecter 70 millions d’euros, soit 25 % des 280 millions d’euros de dividende initialement prévus au titre de l’exercice 2019, au lancement du Fonds « ALL Heartist », un fonds d’aide dédié aux employés et aux partenaires individuels du Groupe affectés par la crise Covid-19.
Cette initiative est le reflet de la volonté du Groupe et de ses actionnaires de contribuer de manière significative aux initiatives de solidarité qui se sont développées à travers le monde pour faire face à la crise sanitaire.
Allouant des ressources importantes du Groupe pour poursuivre, amplifier et étendre les nombreuses initiatives déjà lancées au niveau régional, ce Fonds vient en aide aux 300 000 employés du réseau Accor qui pourraient être en détresse financière en raison d’une réduction significative de leurs revenus liée au chômage induit par le Covid-19 et engendrant une incapacité à couvrir des dépenses de première nécessité (alimentaires, santé, sécurité, logement, éducation et/ou funéraires) ou à faire face à une hospitalisation, à un décès lié au Covid-19 alors qu’ils ne bénéficient pas d’assurance ou de couverture sociale.
Ce Fonds apporte également un soutien aux partenaires individuels du Groupe, travaillant directement pour Accor ou à travers leur propre entreprise, et rencontrant des difficultés financières personnelles en raison d’une interruption de leur activité du fait du Covid-19.
Le Fonds « All Heartist » a également apporté son aide aux professionnels qui étaient en première ligne dans la lutte contre le Covid-19 et qui avaient des conditions de travail difficiles (personnels médicaux, police, forces armées) en mettant à leur disposition des logements, du soutien et des soins en plus des différentes actions déjà proposées par les hôtels et les entités Accor à travers le monde.
Enfin, le Groupe a aussi accueilli dans ses hôtels en France, au Royaume-Uni, en Belgique, en Amérique du Sud, en Afrique et au Moyen-Orient des personnes fragilisées par la crise sanitaire (sans-abri, victimes de violences conjugales...) et des malades en convalescence pour décongestionner les établissements de santé et leur permettre de prendre en charge les patients les plus gravement atteints.